Idéalement, le tourisme devrait renforcer les destinations tout en préservant et en promouvant leur spécificité. Le voyageur éclairé aspire de plus en plus à rentrer chez lui avec un bon sentiment, en plus du repos. Les émissions de dioxyde de carbone d’un voyage en avion ou d’une croisière constituent certes une charge indéniable pour le climat. Mais si les rencontres humaines, les expériences culturelles ou les expériences dans la nature font des voyageurs des personnes éclairées qui évaluent leurs actions futures avec un horizon élargi, le bilan peut être tout à fait positif.